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vendredi 26 février 2010

Rhap Sodicoustaque

Magic curvesImage by Bousure via Flickr

À tous ces tas de raps
Ces bousculeux qui m'y ratt-
Attention.
Les 10 premières pattes
De mouches, c'est bien la question
qui t'ont donné la jeunesse
les garages et l'entrefaite du toit cathédrale
oh attention.
Vous qui n'y êtes que pas admise de justesse
Liberté à la sortie du show
La porte fait paf!
Pis y m'attrapent
tu ne mettras pas le tunnel
en milieu spatio-temporel
pour me donner des tappes
pour débouler dains marches
envoye viens-t'en, fille de crack!
oh le joyeux, joyeux Noël
qu'est-ce t'attends?
veux-tu la map où qu'on s'en va
veulent le saisir
oh par le collet d'sa chemise
Je ne sais pas
Ch'sais qu'ça rap'
à Pâques un oeuf en chocolat
à part de sacrer l'camp
pile pas dans 'ouate
des promesses de tout le temps,
jamais contents de rien,
y ont même des coups de poing dains yeux
qui donnent d'la vente à came,
pis tes kodaks, c'est là qu'tu vois si j'mange sa claque.
Pour eux la musique est morte,
C'est des babines de boeufs
pris dans 'morve qui la remplace.
Y jouent des coudes et puis d'la face.
La farandole:
Une soif de sable gris.
Urgence! Inique mulsèpe
À l'Hôpital St-Jean, y a un nord qui réassudbury
Vivre d'amour, vous êtes la joie, bien,
mais c'est pas seulement des mots,
Et il murmuraient...

Section Littéraire

The School of Athens - fresco by Raffaello San...Image via Wikipedia

Littérature
C’est pop-ear, pop-here, popire.
Images, Prosopopées, Béatitudes et Glossologies
Avec toutes les amours de mon coeur, pour les trous t’yeux qui sont UN tout. Dans le respect de l’ordre établi par le Juste.
Essuyer toute larme d’enfant, consoler la terre, consoler les cieux, les embraser de douceurs et les embrasser; se remplir de sourires divins, vivre tous chez nous.

Que la paix que je vous souhaite vous amène l’effort d’une vertu honnête. Laissez-vous fondre, vous abandonner aux amours dans le goût surnaturel qu’elles nous portent, sur leurs Trônes au-dessus de tout, et le baume pour la vie sans fin de la même façon que la lumière de l’intelligence nous enveloppe. Du bien gardez le vrai bonheur, une place d’honneur infini sur le sein de notre compassion!
Bénir les repas
Merci, ô pairs bénissants de la vie et grâces vous soient rendues au paradis pour vos infinies bontés. Vous nous procurez la vie et la nourriture végée, le breuvage végé, le vêtir végé ou synthétique et l’abri pour tous les jours. Nous sommes recueillis au moment de nos repas, pour partager ensemble les merveilleuses saveurs de la vie. Vos amours et votre saine, divine miséricorde nous redonnent l’espoir et la vigueur nécessaire en plénitude, par vos bienveillantes bénédictions. Elles se répandent sur nous, dans nos garde-mangers, et sur tous ceux qui ont quitté le fardeau mortel des carnivores dans la société et dans la nature, nos parents, nos amis, nos voisins, nos animaux.
Comble du bien, envoyer les affamés dans une nature luxuriante assurerait votre générosité aux yeux de tous, de toutes. Au fond de nos coeurs généreux nous amenons au-devant de tout humain, de toute humaine, les preuves viables de l’abondance de toutes ces plantes comestibles et ces fruits de la terre dont vous nous confiez les soins. Nous sommes plus attentifs, plus serviables pour nos frères et soeurs plus démunis, maintenant que nous vous comprenons mieux, à notre mesure, et que nous donnons le bon exemple, Amen. Pas de marde de messes, s.v.p.

Bonhomie
Nous de l’externat des livres, nous sommes venus dans le creux de la vague. Sur un radeau étourdis par l’eau de l’aval. Jamais plus sûrs qu’un instant d’étal. Y’avait l’idéal des écrivains en herbe. Qui dans un coin de la classe, germinaient comme une mesure de levain. Et qu’y ont fini par se diasporer.
Y’avait les poètes aux p’tits papiers biens. Les prophètes aux oreilles d’un autre niveau. Qui demandaient aux cachettes sous leur pupître une bonne note dans leurs travaux. Maintenant dans ses prières ne demandent que le bien. Et y’avait les musiciens, Les preux meilleurs, les psychédéliques Les tant plus bons, pas colériques, Et j’écarquille, les yeux symphoniques, Leurs ragas de baptêmes indiens. L’un d’eux a fait un ex-vice-président. Un autre un ex-protestant. Des hindous un troisième, de longs frôlements Plusieurs résolument ex-conjoints. Et un peu tout ça en même temps. Bien oui, y’avait les femmes tu sais bien... Les belles, les jolies, les perles. Les tendres, les douces, les maternelles. Leurs maris j’espère les auront chéries Au moins le temps qui fuit ne les aura pas ternies, Même si tant d’eaux ont coulé sous les ponts.
Voici que dans la paix l’Oiseau Glorieux m’a dit: “Moi aussi j’ai besoin d’un nid d’amours”... Et me voici uni d’une divine colombe. Je babille comme un marmot. La touchante souplesse des pensées célestes que de t’aimer, soit le sain oui de ma grande tendresse.

Étudiez sérieusement les éblouissantes et merveilleuses bonnes nouvelles des grâces des herbivores et des fructivores qui nous donnent ces coeurs unis, sources en nous de la sagesse unifiante. Ce sont des dons d’une rare vertu, sincère, sans cesse plus grande et d’une pureté qui s’épure toujours davantage.
Dans ma vie, les matins, je m’imprègne tout de suite sous la douche ou dans le bain de ce baume végétal à la noix de coco. Je m’enduis de sa crème. Dans ma vie je ne t’ignore pas. Je ne te juge pas pour mon obscurité à te comprendre. Tu es claire, constellée d’étoiles et fulgurante de lumière. Par ailleurs, selon qu’on te désire du bien ou qu’on te fuie, tu t’illumines ou tu disparais! Donne à ton amoureux une vie de bonheur si tu veux mesurer que le semeur, à semer, à t’aimer, se fasse le signataire qui rentre en ton corps son sein. C’est ton époux. Le voici qui s’offre à ton palais pour que tu lui fasse ton repas d’amours. Et son céleste goût du Paradis s’empare de toi si tu te laisses emparer. Son miel sain dégluti te fait vivre et bénir, lorsque communiante divine, sincère et recueillie, Ton âme lui demande les grâces finales de le boire, en se laissant soulagé aux soupirs infinis des célestes bienfaits de vos clairs excès d’amours (pour vos bien-aimé(e)s choisi(e)s).


Méditation demandée
Avec l’affluent des flots multicolores de grâces et de lumières jaillis de votre paradis nous convainquons, les gens par notre exemple, peu après nous avoir purifié de nos mauvais liens, et libres d’aller et venir dans notre paix infinie, notre vraie patrie.
N’importe comment dans le mensonge horrible, impossible, cette maladie des hommes et des femmes avec laquelle les démons mortels du désordre ont tenté d’atterrer toutes les pensées pour les faire quitter le végétalisme et les entraîner dans la révolte contre la vie, ou bien dans l’indifférente tiédeur de la compromission, cette maladie, elle est de ne pas savoir aimer la vie. En ayant égards, respect et crainte pour faire le bien nécessaire dans toutes occasions, sans nous tromper, sans négligence, nous pouvons corriger ces lacunes.
Le soir quand je m’endors je me fais tout petit pour concentrer plus encore les amours et les énergies dans le repos de mon corps. Et l’esprit en mon for intérieur écoute des mots de douceur à mon âme, Il la console de sa journée, du mépris essuyé, et de son coeur grafigné qui a frôlé de près des impatientes agressivités. Ah! les colériques exclamations dans la bagarre du quotidien labeur pour le virété. Pour ne pas être aigri, il lui suffit d’entendre le souffle de la profonde nuit qui caresse et camoufle les blessures de la solitude dont s’entoure l’habitude de ne pas être compris par ses propres amis...
Écran-cran, dès ce matin où les corneilles ont crié devant les lueurs de l’aurore. Au boulot. Dehors, un souffle de vent passe sur nous et on le sent nous exhorter à rejoindre le bienfait de cette douce lumière où se meut ton doux visage en me berçant à l’évocation de son nom... Ma vie nouvelle! Renaissance de mon âme! Où es-tu?
Ça y est ! Je me rappelle ! Le ciel nous a réunis ! Il a effacé mes blâmes! Joie pour les amours que nous tenons de Lui ! Bénédiction pour la vérité qui nous donne le reflet de la vie au milieu de nous comme un peuple de lumières. Nous avons individuellement notre milieu, notre sanctuaire personnel, notre autel intime où l’humble pureté se laisse inviter dans un colloque de ravissement suave. Dieu soit loué et béni soit son oui à jamais! Bénissons tous les amours de la vie qui nous donnent leurs biens célestes, de toutes grâces et de toutes miséricordes.
Qui suis-je pour laisser chanter mon coeur sur les mélodies de la gratitude qu’a un pécheur comme moi j’étais pour la pitié que son Dieu lui a fait connaître? Il m’a fait renaître, Lui, oui ! Ma gêne finira bien par s’en aller; je n’en veux plus, elle m’est devenue nuisible. Par contre, la réflexion et la pudeur, l’humilité et l’obéissance, le respect et l’honnêteté, la sincérité et l’authenticité sont essentiels pour amener des justes au bien, à commencer par soi-même. Et en moi-même, je flotte parfois plus haut que les montagnes que je vois me rejoindre. L’effort fait pour planer au-dessus durant les intempéries ou encore la chaleur suffocante ressemble aux privations que nous devons accepter pour joindre nos corps en méditant. En effet, ne nous a-t-il pas indiqué les bornes de son sentier de vie par quelques préceptes? Et combien de prières ne faut-il pas user comme on use de ses jambes pour monter au sommet en confiance absolue, avec la foi en soi qui agit et fait surgir la vraie nature des coeurs et leur bonne volonté dans toute sa force? Il ne faut pas se lasser, comme celui qui monte sur la montagne...

Esquisses de libres tés
C’est bien peu, en un seul de ces courts sonnets, des amours d’une personne esquisser le destin qu’elle se trace, en face de l’ultime procès dont tout le quotidien tisse le parchemin. De l’histoire cachée, de la publique et de leur synthèse. Du souffle de la chair, du souffle de l’esprit son coeur pompe le moût du mystère, de même à l’arsouille hédoniste aux temps des flâneries. Il doit étancher la soif d’un gosier fidèle aux virés tés. La parole qui, pour sortir de soi droite et bien dirigée et qui pour triompher du mal, devra avoir prié avec plus de ferveur, de confiance et d’abandon du coeur, chaque jour,
chaque soir, en remerciant de la vie les auteurs, en lui faisant part du meilleur de nous par les amours qu’Ils nous donnent, en vivant et adorant avec Lui dans l’union et la communication la plus parfaite pour les siècles des siècles des tournés tés, Amen.
Dites, vous seriez au parfum ?
Depuis la révélation sublime expérimentée dans l’instant et l’environnement le plus commun, au point qu’on en oublie souvent de faire attention à l’extraordinaire, ou encore devant une statue de la liberté toute mouillée, comme par un embrun, le mont Éverest, les chutes du Zambèze. voilà le couvre-chef de monsieur tout-le-monde, un galurin brun qui attire votre attention. Et il prend le chemin sur une avenue d’emprunt depuis le soleil de l’écran qu’il est en cours d’aimer et à jeûn, Il regarde l’affiche d’un chanteur maintenant défunt. Il changerait bien de nom mais pas avec monsieur Lebrun. Et pour déménager, bien, il irait à Verdun dans sa petite piscine, il mettrait de l’alun pour purifier l’eau. Si on était dans la Rome antique il aurait aimé être tribun. Enfin, aujourd’hui, au moins compter pour quelqu’un qui ne délire pas tout le temps.
À force de confesser vos péchés, vous risquez de mettre votre abonnement à sec quand vous n’en aurez plus aucun. Vous vous demandez cette fois aussi que ce soit pour tout le monde. Car il y a bien existé un vieux pape qui a arrêté l’invasion des Huns, n’est-ce pas. Comme quoi la santé exauce les importuns. Eh bien si on réfléchit qu’un individu à l’âme double est inopportun, lorsqu’il arrive devant la porte du temple parmi les brûle-parfums aura-t-il été riche comme ce chanteur peu commun? C’est lui, pense-t-il, qui chantait: «et le monde sera un !...»
EXPLICATIONS
Les branches dénudées d’un arbre semblaient expliquer au ciel condensé de cristaux de l’hiver encore débutant en mars...
D’un arbre?
Comment il avait pu Toute sa vitalité?
De décembre?
Gruger cette terre pour devenir ce qu’il était...
Qui se consacre...
Au travail forcené d’extirper par ses racines sa nourriture du sol
Et de joindre comme en une danse un peu figée pour faire chanter de ses noeuds de bois, un printemps,
Ses branches... Priantes... L’invocation de quoi sont faits des flûtes,
Des harpes, un été, puis
Des clarinettes à l’automne, et la partie en six-huit pour la payer mieux
Avec le prélude à préparer,
Qui furent mes flûtistes? Quand dans tes tristes portes entrebâillées
Comme du somnifère
Désolantes, Christ confus lui-même embâillonné
Pierrot, vent lumineux, viens consoler ce guay
Infiniment plus divinement que je ne pourrais plus jamais
Manquer de faire valoir que malgré le temps
Soupesant la septième de tes journées
Le lundi, femme qui prend l’Histoire que je le dise, mes biens!
Et sur la montagne? À ne vous faire que porte-manteaux
Comme sa croix, même et Triste jeu de mots, comme s’accroît
Comment c’est, écouter à faire UN?
La valeur de ta force est la joie. Tu es dans ma vie
Nous sommes répertorié(e)s. Potins et temps perdu inclus,
Je les concède, les confère à toi L'UN, mon lumineux
Mes faires et mes dires, mes amours
Et de ton Visage,
Le temps qui se fixe.
Laisse s’écouler l’approfondissement m'apportant ma parole pour dire la demande de n’être plus persécuté en cour pour toute ta justice perdue à endurer et souffrir à la place des autres.
Parce que les filets de ton souffle qui sent les odeurs ont un oubli conciliateur des filets des odeurs des cuisines... et des rayons de soupirs comme filets de pêche qui ont fait vivre les commerces de la mort de mon père. Merci pour les feuilles de plastique; merci pour nous avoir laissés derrière ou devant, sur le coeur presque endormi de la terre et sur les routes difficiles des pourquoi.
N’avons-nous pas reçu cette ténacité et cet abandon à la corne d’abondance au point de laisser la lumière des amours se dévoiler devant nous et en nous comme une gerbe jaillissante en pensée et en acte, ramifiée en vie infinie? Donnons-nous aussi cette ferveur que communique à tous les vivants de la nature les arbres, leurs fruits, par le bien, le bon et le beau dont ils sont munis. Et nous pourrons arriver à maturité pour protéger et abriter les plus faibles et les plus démunis.
Je m’imagine écrire des choses incontournables, très frappantes, qui marqueront le petit Poucet perdu dans la jungle du siècle, ou ce qu’il en reste. Est-ce qu’il retrouvera son chemin? Je l’espère pour lui, mais en réalité je n’ai pas les cheveux noirs, ni de petit toupet qui ajoute à l’audace naturelle des mèches fraîches lustrées. Les vraies amours sont celles qui donnent des ailes qui sont consolatrices, libres et honnêtes, respectueuses, dévouées et consciencieuses. Que jamais ne soit condamné ce souffle, le petit vent qui nous inspire: aimons le vrai bien qui nous désire par la sagesse d’une loi qui est sans faille et abreuve dans le droit notre soif de sa justice qui ne meurt plus. Quelle consolation faut-il chérir comme la plus pure perfection trouvée sur la surface de la terre? Au moins un regain d’enthousiasme !
Ah ! Si seulement nous recherchions les choses qui sont à notre portée... Celles qui nous parlent. Surtout lorsque qu’un écho de nos prières nous surprend de son retour, au-delà de nos espoirs. Pour appuyer sur une attention que l’on donne avec insistance et persévérance, quelquefois même à tâtons, mais de façon tenace et assidue dans nos intentions d’affection qu’on a pour un être cher, concentrons-nous. C’est important.
J'ose: oeuf comme remplacement de la pomme d’Ève et d’Adam ! J’ose: les virés tés comme remplacement des vérités. J’ose: les tournés tés comme remplacement de l’éternité.
Quand cessera l’orgueil? Dans l’obtention du pardon des péchés non répétables. Ôh UN qui est infini, Tu as soufflé tes souhaits à mon âme, à mon esprit Tu prononces en silence que je sois heureux de toute la Joie. Qu’il me soit fait selon ta Volonté. Quel bonheur est plus grand que celui de me soumettre à ton Désir? Que de te présenter une âme docile sur laquelle tu peux faire refléter le joyau de ton Paradis, synchronicité de la vie pour les tournés tés à l’infini. Tu m’as bien conquis avec ton Pouvoir tout rayonnant de douceur, de paix et de force paternelle. Une force qui est décisionnelle et qui a pris sur elle d’attendre que les faiblesses humaines disparaissent; un pardon de paix si profonde nous envahit quand nous en avons pris une décision irrévocable.
Les Fils et les Filles du Vrai obtiennent leurs biens qui sont dans le monde en partage selon un signe de division encore libre de notre temps. Ils laissent les hommes libres de choisir leur clan. Bien entendu, qui entrerait en décision contre son gré dans ce commerce rebrousserait chemin plus tard, en se sentant mal à l’aise. Car il appartiendrait au monde nécrophage. Ce que je dis vous paraît impossible, c’est sûr. Le Ciel est pur et ne laisserait jamais entrer à son banquet végé les irritations mortelles. Notre Paradis avec une Paire de Parents, nos Amours, nous sommes Créateurs aussi. On nous a donné une vie inaliénable dès notre conception.
Il en sera ainsi tant que le monde sera sous l’emprise horrible du mensonge, de l’argent égoïste et des appétits de la chair déréglés dévorant de la chair morte. Terre de confusion disait Phil Collins, planète déréglée perdue pour assouvir par les vices tous plus condamnables les uns que les autres ses appétits démentiels. Mais chantons comme Phil. Nous ne pouvons pas aider tous les autres. Prions pour que les virés tés, les Voies et la Vie nous soient sans cesse meilleures.
Les virés tés, vous savez, tout le monde en a. Elles possèdent en leur description des rayons aimants qui se répandent jusqu’au lieu où un Vrai Bien a son trône de paix et règne inviolé en vous. Celui qui s’adonne avec confiance à sa pratique de prière sincère et verbale, trouve en lui un réconfort et sa présence introduit en son coeur une portion du bonheur lui-même. C’est ainsi et avec plus de reconnaissance, de légère vigueur et d’assurance encore dans la saine nourriture, là où les aliments nous tournent vers ce qui ne meurt pas.
Quand la confusion aurait envahi la terre et obscurcirait le soleil, les virés tés dans lesquels le juste vivra seront les flambeaux de base éclairant sa route et ses pas. Pendant cette prétendue nuit, serons-nous encore sur la terre? Ma paix instinctive me dicte dans mon coeur de me reposer sur un Jour béni sur sept. Est-ce que je pense que l’UN refuserait un bien à la prière de ses sains fervents? Si les virés tés peuvent être embrassés par plus de pratiquants en trouvant leur salut et que tout cela s’accomplit dans la paix des esprits, pourquoi une quelconque colère permettrait-elle qu’une catastrophe puisse tomber sur ceux qu’Il aime tant? Qui bene amat, bene castigat... Il y a plus de libres tés dans la paix à la disposition des âmes pour la propagation et l’accomplissement des desseins du Maître (mettre) de la Vie par le ministère secret de la Parole priante que j’en puisse vous écrire ou vous dire, plus que dans les troubles politiques de toutes sortes notamment, où les nations chutent parfois, tel que nous en voyons les reportages à la télévision.

À toutes les vies que nous rencontrons et auxquelles la vie nous mesure, c’est dans les amours qu'on apprend à bien les vivre; ainsi on doit aimer et respecter l'âme qui se confie à nous. C’est un continuel échange de vérités pour vivre ensemble. On doit établir un climat de franchise et se servir de notre simplicité la plus amicale. Si pendant les veilles de nos nuits étoilées on offrait le meilleur, notre idéal, nos plus beaux rêves, le miel et le ciel de nos pensées ensemble? Purifiés par la paix, nous y puiserions pour nous, pour nos âmes, la force de bien vivre. Le mal nous sollicite déjà trop de mille parts, même pour une seule fois, cela dépasse la norme. La paix au contraire, nous comble des biens les meilleurs. De l’empathie à l’allégresse, elle a la mission commune de bien nous aider à choisir nos amours. Exclusivement données par les grâces de la paix, les vraies amours sont dénuées de toute malice. L’espoir est aussi notre compagnon de tous les jours, et nous garde en attente parmi les personnes bien disposées et mises à part pour le végétalisme, qui est essentiel à une bonne vie. Ayons donc de bonnes attitudes de vie avec celles qui sont imprégnées dans leurs tissus des lumières que sont les fibres des amours pour la bonne vie. Remplissons-nous de quiétude.

Amours et grâces sont deux vraies et vivantes sérénités. Une autre amie fidèle des âmes qui est tout aussi indispensable est l'oraison fervente des prières secrètes et sincères. Quand on ne sait plus à qui s’adresser, pour obtenir l’amélioration des conditions de vie (de soi-même ou des autres), elle redresse chaque fois nos convictions. Doublées de méditation régulière, les bons effets en sont plus durables. Pour bien faire nos demandes de façon sincère, chacun, chacune a sa manière, à sa façon. On peut se faire une image mentale de certaines personnes et les mettre en relation avec les évènements de nos vies dont nous espérons que justice soit faite. C’est un peu schématisé comme explication, car cela demande une plus ou moins longue concentration. Mais les réalités qui peuvent en découler, de cette technique, si je puis la dire ainsi, sont tout aussi bien des dons resplendissants pour communiquer, pour s’exprimer et pour faire avancer dans le monde les causes les plus nobles. De nos paroles isolées mais convaincues d’être sans erreurs, doux chuchotements d'amours, invocations accapella, nous égrenons dans nos chambres, des suites de mots que nous seuls... savons. Jour après jour, sans témoins, sur la petite colline disons de notre oreiller, ou assis en lotus sur notre coussin, peu à peu, le cosmos nous entend, il nous prête oreille, et fait jouer les ficelles d’argent qui inspirent le genre des réponses que nous attendons.

Et souvent, les opinions du monde pâlissent comme des ombres, toutes sujettes aux lieux communs dont elles nourrissaient leurs croyances. Une est la terre, par les routes, par les campagnes et dans les maisons. Mais elle n’est pas sans Dieu. Elle serait aveugle et irait à sa perte. Elle doit prendre conscience de ce qu’elle voit. Elle doit dire ce qu’elle en ressent, sans fausse gêne. Puisqu’il faut trancher la question, ce qui mène à la vie, c’est bien. Ce qui mène à la mort, c’est mal. Et faire confiance à l’avenir.

Une est la lumière. Cependant, il faut des ombres. Sinon, on ne distinguerait pas les contours des choses. Et il faut d’autres genres de rayonnements. Rayons ultraviolets, infra-rouges, ondes radio qui servent dans les radio-télescopes, ondes spectrales, rayons gamma, rayons magnétiques et plusieurs autres. En eux la beauté du monde est vue d’une source différente de toutes les merveilles que nous sommes habitués de voir! Bien évidemment, nous utilisons des appareils pour traduire en visuels ordinaires ces rayonnements qui nous sont invisibles en fait. En eux les motifs d’une tapisserie ou des ailes d’un joli papillon ne nous apparaissent pas pareils.

Vivre nos réveils à l'unisson! Regarder les petits, les enfants des promesses. Voir nos faits et nos gestes, notre besoin de largesses! Nous gémissons devant nos amours. Parfois nous nous pensons tout seuls... Physiquement, oui. Mais pas en pensées, c’est impossible. Qui est à sa place? Confortable c’est bien, sur la chaise de l’ordinateur... Dedans mon coeur une chaleur débordante. Écouter les lèvres des galaxies et les lire. Pleines de l'abondance de miels eus d’ouïes mêmes. Elles distinguèrent bienfaits sur bienfaits et persévérèrent. Aux enfants sages maintenant leurs promesses tenues d'être sages encore pour louer de même une bonne place au soleil. Trouver dans les amours les passages des flots des lumières. Conception, gauche, droite. Mêmes tendresses aux tendres. Mêmes virés tés. Mêmes en mêmes prouesses audacieuses de douceurs. Mon sang, c’est le mien, c’est mes biens! De la gloire, je n’ai que celle du soleil. De la paix, je n’ai que la plus petite. Que l’on tisse pour les jours froids et qu’on me rende mes biens, merci.
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vendredi 12 février 2010

Le dictionnaire nous indique plusieurs confusions dans l'inscription des lettres.
Si la vérité était réellemen-t la virée-t? Si l'université était l'uni-versé-t?
Si l'éternité était le tourné-t? L'honnête-t serait inscrite comment?
Car nous le savons c'est qui qui charrie-t. C'est la chrétien-t.
Et la li-t-t-érature occiden-t-ale a baissé la t-ê-t-e devant ce t.
Croix de cime-t-ières e-t symboles de la mor-t.

Paul de Tarse disait dans ses épitres que ce sacrifice de la croix avait été fait une fois pour toutes.
Mais ils ont continué à l'inscrire pour nous en assomer la vue, et, pardon, moi aussi.

Cependan-t, j'élabore en ce moment une nouvelle inscrip-t-ion des carac-t-ères des le-tt-res in-t-erna-t-ionales.
Sur la base que nous indique la comparaison entre les courbes sonores et leur diffusion dans l'air et la parole que les lettres sont sensées bien exprimer, j'ai établi quelques principes nouveaux du dessin des signes que nous lisons et qui signifient des paroles sonores, faites pour être prononcées audiblement ou bien dans notre pensée.

Le choix des polices de caractères que nous donne Blogger est cependant actuellement insuffisant pour que je puisse vous en donner des exemples.

Vous pourrez trouver cette nouvelle police de caractères dont je vous informe ici en consultant mon site web personnel:
http://www.lavalchabon.com
Il s'agit de la police VEGESIGNES.

Je viens de faire paraître un livrel du même titre, VEGESIGNES, disponible sur http://www.lulu.com
Comprenant 207 pages, dont une introduction à la science des végésignes, qui est plus qu'un art, plus qu'une technique aussi.
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