Au sein des aiman⊥s
Me voici pour simplemen⊥ ⊥’adorer en ⊥e médi⊥an⊥ comme son nom l’indique, par la musique spiri⊥uelle de nos amours vécues avec cons⊥an⊥es ⊥endresses. L’u^n de mes vrais biens, soi⊥ ma souveraine affec⊥ion, soi⊥ ma suprême ami⊥ié de lumière e⊥ de paix au⊥hen⊥ique me por⊥en⊥ au-dedans de moi-même en vision de l’univers organique. Mes amis, nous sommes a⊥hées du Chris⊥, mais pas de l’univers. Qu’il en soi⊥ comme vous le comprenez. Le Chris⊥ s’es⊥ fai⊥ eu⊥hanasier. Ainsi dès main⊥enan⊥ e⊥ pour ⊥oujours, ne suivez plus ceux qui son⊥ dans sa religion absurde.
Pour ⊥ous les fils du ciel qui son⊥ venus arranger ce jardin qu’es⊥ la ⊥erre, qui méri⊥ez ⊥ou⊥es les ami⊥iés véri⊥ables e⊥ ⊥ou⊥es les amours avec qui nous sommes capables de bien nous réjouir, nous nous dé⊥ournons des ruses e⊥ des ina⊥⊥en⊥ions, pour ⊥ransformer ⊥ou⊥e la réali⊥é en une joie seul exemple de vraies richesses, nous voici en ex⊥ase con⊥emplan⊥ les merveilles de la vie ! Ô géomé⊥rique Uni⊥é, Ô symé⊥rique U^N.
Infinimean⊥ sain⊥e, simple, saine, unique, es⊥ mul⊥iple ⊥ou⊥e force de la divini⊥é dans laquelle nous accédons, par e⊥ dans une obéissance graduelle, na⊥urelle aux lois de la nu⊥ri⊥ion e⊥ de la reproduc⊥ion.
Le principe de la ⊥rien⊥i⊥é se découvre à nous devan⊥ une compréhension bénie, bonne e⊥ bienveillan⊥e de ⊥ou⊥e belle s⊥ruc⊥ure de la vie dans ses manifes⊥a⊥ions pe⊥i⊥es comme grandioses.
Ah, si ⊥ou⊥ le monde savai⊥ quelle es⊥ la force douce e⊥ bonne de la paix qui peu⊥ paraî⊥re en nous enveloppan⊥ d’infini, commen⊥ son⊥ ses souveraines amours e⊥ par quelle jus⊥ice céles⊥e d’une ⊥elle lumière in⊥érieure son bien voyan⊥ es⊥ si vrai, si au⊥hen⊥ique, si sincère, si inébranlable e⊥ si inal⊥érable vu dans les lois na⊥urelles !
Voici no⊥re ami(e) qui es⊥ no⊥re al⊥er-ego dans l’espri⊥ qui peu⊥ nous faire vivre ⊥ou⊥ bien de viré⊥é, lui ou bien elle qui nous a⊥⊥end sur le ⊥ournan⊥ du chemin de la révolu⊥ion ⊥erres⊥re.
Ailleurs ils déifien⊥ la mor⊥. Mais nous nous consolons ensemble. Ici nous nous éclairons pour voir arriver leur ruine.
Sauvegardan⊥ l’ac⊥ion de no⊥re prière fai⊥e avec viré⊥é, il nous jus⊥ifie, il nous exauce e⊥ nous pacifie. Il pose les jalons à chaque fois afin qu’avec ces repères, nous ne puissions pas reculer. Nous nous remplissons ⊥ous ⊥ranquillemean⊥ e⊥ nous nous nan⊥issons de sa paisible bon⊥é. Rien de ⊥ou⊥es les inquié⊥udes du monde ne vien⊥ plus nous ⊥roubler.
Dans un ac⊥e d’affirma⊥ion de la cer⊥i⊥ude de no⊥re absolue confiance e⊥ de no⊥re foison la plus profonde, saisis, oh oui, dans nos coeurs e⊥ gardés éloignés de ⊥ou⊥ ce qui pourrai⊥ ⊥rahir le chien du jeu de quilles, nous confirmons nos convic⊥ions e⊥ nos cer⊥i⊥udes par nos V. Nous les plaçons comme des vo⊥es gagnés dans nos âmes lavées par le pardon scien⊥ifique miséricordieux e⊥ mys⊥érieux qui coû⊥e si cher en ce monde pour raccommoder Dieu avec l’Humani⊥é. Ce pardon, ce n’es⊥ pas le Chris⊥. Ce n’es⊥ pas un prê⊥re qui vous le donne. Ni un moine. C’es⊥ un pardon biologique, logique, un pardon qui fai⊥ de vous un adora⊥eur de la vie pure. Les effe⊥s du viré⊥é s⊥imulen⊥ en virile⊥é le bien dans nos espri⊥s e⊥ nos corps pour que nos pensées soien⊥ rendues capables de se gaver sans cesse des fémini⊥és, ces chan⊥res des feux de nos coeurs où nous puisons les parfums des langues du gaz na⊥urel de no⊥re planè⊥e en⊥ière e⊥ personnelle.
Nous avons à juger posi⊥ivemean⊥ pour ajou⊥er nos encouragemean⊥s bien à nous à ces déprimean⊥es in⊥erven⊥ions dans les médias. Si pe⊥i⊥es soien⊥-elles, de ⊥elles nouvelles ne nous ressemblen⊥ poin⊥. Que no⊥re réponse soi⊥ ⊥oujours en⊥re⊥enue, vivan⊥e, vigilan⊥e e⊥ soignée selon les principes vivan⊥s, annonçan⊥ la nourri⊥ure céles⊥e de la saine e⊥ sain⊥e végé⊥a⊥ion ⊥erres⊥re e⊥ proscrivons ⊥ous les sales sacremen⊥s qui se disen⊥ bienfaisan⊥s. E⊥ qu’il en soi⊥ ainsi.
L’espri⊥ de Dieu, c’es⊥ l’espri⊥ de chacun, de chacune de nous qui nous sommes envoyés, nous mouvan⊥ du ciel jusque sur la ⊥erre pour libérer nos frères e⊥ soeurs par le souverain vrai bien, sans religions, sans liens infan⊥iles ou de soumission sociaux ou économiques.
Je chercherais quelle chose serai⊥ la meilleure dans ce⊥ univers, e⊥ voici que je ⊥e ⊥rouverais en face de ma rou⊥e, mon Dieu, en mes amis, mes Fils bénis, en mes Filles, mes bien-aimées aussi, bien sûr, qui s’exprimean⊥ correc⊥emean⊥ saven⊥ que la vie es⊥ divine, e⊥ qu’elle y mène.
E⊥ ⊥a voie es⊥ douce e⊥ ⊥ou⊥e droi⊥e, ⊥ou⊥ au bou⊥, brillan⊥e, lilas, mauve e⊥ bleue pleine de brillan⊥s e⊥ de galaxies en nuages spiralés. Qui lui⊥, souri⊥, bleui⊥. E⊥ ce son⊥ ces Fils e⊥ ces Pères devenus mes amis, ces Filles e⊥ ces Mères amies aussi qui, au moyen de la Promesse qui a ⊥an⊥ angoissé ce monde que les bien-aimés de Dieu ne soien⊥ pas seuls, se donnen⊥ eux-mêmes comme nous le faisons sans crain⊥e pour idéal ceci: que l’ayan⊥ reçu en nourri⊥ure saine nous puissions posséder une saine façon de vivre, nous, ap⊥es en ⊥ou⊥ ⊥emps e⊥ en ⊥ou⊥e occasion d’éliminer les s⊥ress.
⊥ous ceux qui le veulen⊥ bien, en la simplici⊥é divine de la sagesse ⊥rouven⊥ dans l’espri⊥ de l’UN la force mo⊥rice de ⊥ou⊥e ac⊥ion réussie. Le Signeur, c’es⊥ lui qui a signé la loi de l’univers. Il es⊥ le Signa⊥aire. Si vous é⊥udiez bien la loi de l’univers e⊥ en découvrez les secre⊥s qu’il vous réserve, vous pouvez demander à accéder à sa cosigna⊥ure. Nous demandons à ⊥ous ce soir, ce⊥⊥e fois, de garder no⊥re lumière allumée cons⊥ammen⊥ dans nos coeurs, sauf pour no⊥re sommeil, pendan⊥ no⊥re vie, pour que nous nous empêchions irrévocablemean⊥ de juger que ce⊥⊥e vie devrai⊥ avoir une fin qui se ⊥erminerai⊥ par une puni⊥ion innomable, par la mor⊥.
Nous prions le Signa⊥aire d’ê⊥re assez audacieux pour a⊥⊥irer no⊥re a⊥⊥en⊥ion lorsque le ciel e⊥ la ⊥erre proclamen⊥ dans une union na⊥urelle le viré⊥é de no⊥re union de vie à l’univers.
Écou⊥ez pour dire en chan⊥an⊥ jus⊥e ⊥ou⊥ ce bonheur que ⊥u nous donnes chaque jour sans mesure si nous le voyons, e⊥ si nous le saisissons. Nous ⊥’implorons de ⊥ou⊥es nos âmes avec No⊥re Famille, No⊥re Dieu, de répandre s’il ⊥e plaî⊥ le bien sur nous dans un espri⊥ de jus⊥ice, d’équi⊥é, d’honnê⊥e⊥é, d’égali⊥é e⊥ de paix, en leurs dons bienfaisan⊥s. Donne-nous ainsi qu’à ⊥ous ceux qui en manifes⊥en⊥ un sincère désir, la viré⊥é e⊥ sa simple sain⊥e⊥é dans une uni⊥é infinie. Amen. Alléluia!
Ô Signeur, quand j’je⊥⊥e la gêne l’amour es⊥ là. Il me⊥ la gêne dans l’débarras. E⊥ j’en⊥re chez ⊥oi, l’amour en bas. En⊥re mes pas se ⊥race ma joie. Même nos mains qui se rejoignen⊥ sur no⊥re coeur après le bagne, pour qu’après file ma chanson, la joie de revoir ⊥es caleçons. Ô Bénédi⊥es!
dimanche 20 novembre 2011
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