lundi 17 novembre 2014
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Puisque le coeur de l’enfant nouveau
S’illumine d’amour autour du sommet de son phare
Et exalte son âme aux souriantes promesses
Qu’après d’inhumaines et de coûteuses souffrances
Qu’après tant et tant de douleurs il essaie de racheter
Le croissant de la lune et la croissance des lilas sur leurs aubergines,
Les lourds remords, les blessures et les dettes,
Alors, voici que re-fusent de la musique initiatique, nos cantiques et nos symphonies-rock hurlantes
À la joie de l’ode des nymphes vénusiennes
Si lyrique dans les cieux de l’ici et de l’au-delà !
Nos coeurs apaisés prennent une bonne direction
Pour soulager la faim de tant de petits, par souci de prévenance, secours, sympathie, égalité, compassion, tendresse, humilité, fraternité…
La faim des corps pour le pain quotidien,
La faim de l’âme pour l’humble amour du vrai Bien,
Une foi en de nouveaux horizons qui s’éveille,
Les attraits de l’art symbolique et ses mystères
Et la soif de la justice qui est cette fois
En train de broire les larmes de ton coeur,
Car s’épanchent les miennes aux creusets de la vie
À la tablée sincère des aveux spontanés
sur leurs meansonges qui vieillissent mal.
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